Une heure. Une petite heure avec lui. À me blottir dans son rire, à respirer son odeur de noisette, à le regarder gonfler ses muscles, bouger ses oreilles, à l’écouter m’appeler « mon fils », à tendre le cou vers les nuages, là, dehors. Une heure de rien du tout. Une heure pour oublier toutes les autres.