Le récit se déroule durant une course cycliste féminine à étapes et l'on découvre tour à tour Lucie qui « s'accroche » pour finir dans les temps et ne pas être éliminée et Hugo, au cœur des spectateurs., spectateurs qui ne respectent pas toujours les sportifs, notamment les derniers.

Tout a commencé par un bonbon. En passant dans la rue Dici, monsieur Dubalai, de la rue Dacoté, a jeté l’emballage de son caramel mou sur le trottoir. Un peu plus tard, madame Prout-prout, qui vit aussi rue Dacoté, a descendu dans la rue Dici une chaise à trois pieds. La même journée au même endroit, monsieur Léger s’est débarrassé de son vieux frigo. « J’ai tout vu ! » a glapi une voisine depuis sa fenêtre. Si elle avait su ce qui allait se passer après, peut-être aurait elle fait quelque chose, là, tout de suite. Au bout d’un moment, les gens de la rue Dici ont décidé de réagir. La guerre des poubelles sauvages était déclarée.

Alors que Ma dessine, Mi se trouve bloqué par une grosse pierre en plein milieu du chemin. Tout seul, il ne parvient pas à la pousser et il est mécontent d'être coincé. Ma va lui expliquer qu'à deux , on peut changer le monde ; la grosse pierre va alors se transformer en un joyeux toboggan.

Mi et Ma tentent de capturer une feuille qui danse au dessus de leur nez. Mais rien à faire la feuille se joue des deux et n'en fait qu'à sa tête. Les deux enfants vont peu à peu comprendre que la feuille est libre comme le vent et que c'est elle qui choisit d'être ou de ne pas être attrapée