Extrait du livre Les poubelles sauvages
Les poubelles sauvages de Christine Beigel et Hélène Humbert aux éditions du Pourquoi pas
Les poubelles sauvages
DUBALAID LE CARAMEL QUI COLLE BON À LA SEMELLE ! Tout a commencé par un bonbon. En passant dans la rue Dici, monsieur Dubalai, de la rue Dacoté, a jeté l’emballage de son caramel mou sur le trottoir. Après tout, ce n’était qu’un bout de papier…
Un peu plus tard, madame Prout–Prout, qui vit aussi rue Dacoté, a descendu dans la rue Dici une chaise à trois pieds. Normal, elle avait peur de tomber de haut sur son précieux derrière ! La même journée au même endroit, monsieur Léger (encore un Dacoté) s’est débarrassé de son vieux frigo. « J’ai tout vu ! » a glapi une voisine depuis sa fenêtre. Si elle avait su ce qui allait se passer après, peut-être aurait-elle fait quelque chose, là, tout de suite.
Monsieur Trobo Dacoté... C’est moche Pas beau ! Chez les Touvabien Dacoté tout va toujours bien Pas bien !