>   Le livre où la poule meurt à la fin
Le livre où la poule meurt à la fin

Le livre où la poule meurt à la fin

9-12 ans - 19 pages, 609 mots | 8 minutes de lecture | © Les 400 coups, 2017, pour la 1ère édition - tous droits réservés


Le livre où la poule meurt à la fin

Le livre où la poule meurt à la fin

Catherine la poule est dépensière à l’excès. Elle achète tout et n’importe quoi: vêtements, meubles et gadgets en tous genres, quitte à finir criblée de dettes. Elle est la reine du « magasinage » et des cartes de crédit. À quoi bon économiser quand on sait que son temps est compté ? Ainsi, quand son heure est venue et qu’on lui demande de se confesser, Catherine n’a pas de regret, ou peut-être bien qu’un seul !

Cet album a été nominé pour Les livres préférés de Lancemot 2018, a été finaliste du Prix Espiègle, catégorie Bibliothèques scolaires du primaire 5-11 ans, 2018, finaliste du Prix littéraire de l'École Supérieure du Professorat et de l'Éducation de Bretagne 2018 et finaliste du Prix Tatoulu, catégorie Vert, 2019. Il a remporté le Prix des libraires du Québec Jeunesse, catégorie 6-11 ans Québec, 2019.

"Le livre où la poule meurt à la fin" vous est proposé à la lecture version illustrée, ou à écouter en version audio racontée par des conteurs et conteuses. En bonus, grâce à notre module de lecture, nous vous proposons pour cette histoire comme pour l’ensemble des contes et histoires une aide à la lecture ainsi que des outils pour une version adaptée aux enfants dyslexiques.
Dans la même collection : Voir plus
Autres livres écrits par François Blais : Voir plus
Autres livres illustrés par Valérie Boivin : Voir plus
Enregistrement(s) proposé(s) par storyplay'r

Raconté par Mickaëlle

narration avatar
Ecouter

Extrait du livre Le livre où la poule meurt à la fin

Le livre où la poule meurt à la fin de François Blais et Valérie Boivin aux éditions Les 400 coups


Le livre où la poule meurt à la fin
Dans un grand poulailler vivait une jeune poule nommée Catherine. Comme ce poulailler abritait des centaines de poules, on ne leur donnait pas de nom, mais Catherine avait décidé de s'appeler Catherine. Parce que.
Catherine était affligée d'un vice très grave : elle était dépensière. Dès qu'un objet lui plaisait, même un tout petit peu, elle devait l'acheter.
Elle possédait des robes, des bijoux, des téléphones, des extracteurs à jus, des bibelots, un tutu, des tableaux, des perceuses électriques, des bols à punch, des arrosoirs, des disques, des poupées, des horloges; elle possédait même un jeu de pneus d'hiver (elle qui n'avait pas de voiture), ainsi que cinq paires de gants (elle qui n'avait pas de mains).