>   Les chaussures de l'Hippopotame
Les chaussures de l'Hippopotame

Les chaussures de l'Hippopotame

6-8 ans - 32 pages, 837 mots | 13 minutes de lecture | © MØTUS, 2021, pour la 1ère édition - tous droits réservés


Les chaussures de l'Hippopotame

6-8 ans - 13 minutes

Les chaussures de l'Hippopotame

30 poèmes magiques pour s’étonner, sourire des petits riens qui font tout et de tout le reste qui n’est pas rien… Un recueil plein d’originalité, d’inventivité et d’inspiration, en parfait accord avec les illustrations riches d’humour et de tendresse de Pierre Pratt.

"Les chaussures de l'Hippopotame" vous est proposé à la lecture version illustrée, ou à écouter en version audio racontée par des conteurs et conteuses. En bonus, grâce à notre module de lecture, nous vous proposons pour cette histoire comme pour l’ensemble des contes et histoires une aide à la lecture ainsi que des outils pour une version adaptée aux enfants dyslexiques.
Du même éditeur :
Enregistrement(s) proposé(s) par storyplay'r

Raconté par Thomas

narration avatar
Ecouter

Extrait du livre Les chaussures de l'Hippopotame

Les chaussures de l'Hippopotame de David Dumortier et Pierre Pratt aux éditions Motus


Les chaussures de l'Hippopotame
Un petit homme Était incapable de vivre Sur le soleil Sur la lune Dans l’univers Il ne pouvait pas non plus vivre Au pôle nord Ni au milieu des océans Il ne pouvait vivre que sur la terre, Heureusement Qu’il avait choisi de vivre là.
Un chasseur ne possédait Qu’un fusil en papier Alors il tuait le temps En écrivant dessus.
Une petite fille Avait caché quelque chose Et elle était si cachottière Qu’elle avait même caché Sa cachette… Sous son lit.
Un homme qui n’avait pas de grimace Se dessina une bouche sur le côté. Et depuis ce jour là Il ne dit plus que des mots de travers…
Une marchande de glace N’avait plus de glace Alors elle vendit ses miroirs Bah ! De toute façon L’été était fini.
Une petite fille Avait oublié le chemin De son école Elle avait aussi oublié Son cartable et sa poésie Et elle avait même oublié Qu’on était dimanche.
Un hérisson né sans piquant sur le dos S’était glissé dans une brosse Et cette brosse lui allait comme un gant !
Un dromadaire S’était fait une bosse à la tête Et il était furieux Car Ce n’est pas parce qu’on est un dromadaire Qu’on apprécie les bosses.