Halé Halélé ? Gombé ! C’est l’histoire d’une petite fille si causante si pipelette qu’on l’appelle Binti-la-Bavarde. Ce matin, elle s’interroge :— Que ferai-je plus tard ? Quel sera mon métier ?Bien décidée à le savoir avant le soir, elle mène l’enquête de la plage au marché, du village à la ville...Pêcheuse ou brodeuse ? Boulangère ou taxi ? Alors, Binti, as-tu trouvé ?

« Tous les jours, dans ma tête, dans mon corps et dans mon cœur, c'est un tourbillon d'émotions. »

Êtes-vous prêts à faire le tour de douze émotions qui peuvent nous ébranler quotidiennement : l'émerveillement, la colère, la peur, la fierté, la tristesse, l'impatience, l'excitation, la gêne, la surprise, la jalousie, la joie ou encore la sérénité ?

En route à l’assaut de ces sentiments impalpables et confus !

Les enfants sont également invités à reconnaître les attitudes ou mimiques associées à chaque émotion, ils pourront ainsi mettre des mots sur ce qu'ils peuvent ressentir.

Parler de la mort avec les enfants est toujours délicat ! On ne trouve pas toujours les mots pour s'exprimer, pour les réconforter… Pourtant, la mort fait partie de la vie. Tous les êtres vivants naissent, vivent et meurent, laissant la place aux suivants… C'est ainsi que le cycle de la vie se perpétue de génération en génération. Comment les personnes âgées sont accompagnées en fin de vie ? Que se passe-t-il si on perd ses parents ? N'y-a-t-il qu'une seule façon de réagir à la mort d'un être cher ? Chaque personne a sa façon de vivre son deuil : certains préfèrent être seuls, d'autres sont plus rassurés d'être en groupe afin de partager leur peine ou de se remémorer les bons moments passés avec le défunt. Tout dépend aussi de sa culture, de ses croyances… Une chose est sûre : la mort, ça effraie beaucoup moins quand on en parle !

Sans s'arrêter sur une situation particulière, Rhéa Dufresne aborde le sujet avec douceur et délicatesse. Elle porte un regard tendre et universel qui permettra à chaque lecteur de se retrouver et d'y puiser un peu de réconfort.

Un petit garçon est triste à l’idée de devoir abandonner son nounours préféré. Avec humour, l’auteur lui explique à quel point il serait catastrophique de le laisser grandir avec lui. 

Pour commencer, il deviendrait gigantesque ! Imagine devoir partager ta chambre avec un ours de plus de deux mètres de haut. Il invitera ses amis, il prendra ta place devant la télévision, sans oublier qu’il voudra pêcher le saumon dans ta baignoire. Tu verras, vaut mieux ne pas vivre ça!

Les illustrations riches et dynamiques de Sébastien Chebret font écho à l’humour de l’auteur.